S’initier à un instrument de musique

Y a-t-il un instrument de musique qui vous plaît ? Et si vous apprenez à le jouer ? Certes, là, vous n’avez que quelques minutes, mais vous allez bien vous amuser. Le lendemain, essayez également de trouver un peu de temps pour poursuivre cet apprentissage. On ne devient pas musicien du jour au lendemain, mais il faudra être patient et être persévérant.

Cuisiner

On peut aussi classer la cuisine dans la catégorie des loisirs créatifs et pour ceci, vous n’êtes pas obligé de vous inscrire à des cours comme pour l’apprentissage de l’instrument de musique. Prenez un livre ou allez sur Internet pour choisir une recette qui vous plaît. Pour la découverte et le loisir, sélectionnez une recette originale avec des produits dont vous n’avez pas l’habitude de cuisiner. Et si vous testez la cuisine moléculaire ?

Bricoler

Si vous vous rendez sur Internet, vous allez trouver mille et un tutoriels de loisirs créatifs, ceux qu’on nomme les DIY ou les Do It Yourself. Vous pourrez redonner vie à des objets que vous n’utilisez pas et pour cette séance de bricolage, vous n’aurez besoin que de simples outils.

Peindre

Ne vous dites pas que cette activité est uniquement réservée aux grands créatifs. Vous avez sûrement en vous cette âme créative, il suffit de la réveiller. Pour ce faire, inscrivez-vous à un cours de peinture et qui sait, en rentrant de ce cours, vous pourrez déjà avoir votre première toile. Au début, elle ne sera pas si parfaite, mais avec le temps, vous allez vous améliorer.

Choisir la bonne guitare pour jouer du flamenco

Bien qu’une guitare classique puisse faire l’affaire pour s’entraîner à la rythmique espagnole, l’idéal si vous êtes un vrai amateur de flamenco serait de vous diriger vers un instrument plus technique : la guitare flamenca. Cette dernière se retrouve chez des luthiers spécialisés, les grandes marques de guitare ne s’étant guère emparé du secteur. Les guitares Alhambra ont toutefois bonne réputation. Les caractéristiques principales d’une guitare flamenca sont les suivantes :

• Caisse de résonance en cyprès, assez étroite
• Manche moins large que celui des guitares classiques
• Instrument léger et globalement plus fin
• Diapason rallongé (donc tension de cordes plus élevée)
• Son brillant, métallique
• Table traditionnellement en épicéa avec pickguard
• Chevilles d’accordage souvent placées en porte-à-faux

Côté médiator, c’est plus simple… il n’y en a pas ! Le flamenco se joue avec les doigts.

Les compas du flamenco, des rythmiques de guitare bien particulières

Que sont les compas et à quoi peuvent-ils bien servir ? En résumé, un compas est une technique rythmique exécutée sur un ou plusieurs accords. Il en existe différentes sortes, comme le compas camarguais, le compas gipsy ou le double golpe. À l’écoute, vous identifierez tout de suite la couleur espagnole apportée par la main droite :

Voici un petit descriptif plus précis de quelques techniques spécifiques au flamenco, ou qui peuvent vous y amener.

Le golpe

En espagnol, golpe signifie frapper. La technique désigne le fait de frapper avec les doigts -souvent l’annulaire- la table d’harmonie, en-dessous des cordes, ce qui crée un effet percussif. C’est ici que l’importance du pickguard apparaît. Une guitare classique souffrirait rapidement de ces coups répétés, tandis que la guitare flamenca peut encaisser sans problème la technique.

Le golpe est un point essentiel à acquérir car il se retrouve dans nombre d’autres rythmiques espagnoles. Pour l’entraîner, pratiquez-le d’abord sans note, avec régularité, en posant le pouce sur la corde du mi grave et en frappant avec l’annulaire. Ensuite, ajoutez la corde de mi aigu avec l’index entre chaque coup. Quelques cours de guitare vous seront utiles pour parvenir à le jouer avec fluidité.

Le double golpe

Reprenez la technique du golpe et appliquez-la au-dessus des cordes, avec le pouce. Alternez ensuite en haut avec le pouce, plaquage d’accord et en bas avec l’annulaire… voici le double golpe ! Il parait très difficile, mais vaut le coup d’être travaillé pour la chaleur qu’il apporte à l’accompagnement. Comme pour toute technique, en débutant doucement, le progrès se fait peu à peu.

Le « feu de camp »

Le rythme « feu de camp », bien connu des guitaristes, constitue une base idéale pour apprendre à placer des accords et à rester régulier -deux compétences essentielles dans les compas du flamenco.

Pour réussir à jouer les accords au bon moment, il peut être pratique de décomposer chaque temps en deux croches. Sur une mesure à quatre temps, vous obtenez ainsi : 1 et 2 et 3 et 4 et.

Le rythme « feu de camp » se place sur les temps en gras : 1 et 2 et 3 et 4 et, en grattant les cordes respectivement sous la forme « bas / bas haut / haut bas haut ».

Le rasgueado

Le rasgueado est une série de frappes des doigts sur les cordes, qui produit une mélodie rapide et rythmée. Elle demande une bonne position, des ongles solides, des doigts forts et surtout, de l’entrainement. Vous pouvez suivre les indications suivantes (en espagnoles, mais faciles à comprendre avec l’image) :

Le flamenco à la guitare, un style riche et unique

Il existe encore bon nombre de techniques utilisées par les guitaristes de flamenco, plus ou moins difficiles. Une chose est certaine, ce style musical très riche fait la part belle aux musiciens et à l’expressivité. Même si vous ne vous destinez pas à devenir joueur de flamenco, le travail des compas et du rythme apportera beaucoup à votre pratique générale.

Le bœuf : une richesse dans l’île

Le bœuf est depuis toujours un élément essentiel de la culture des Malagasy. Vivants, ces animaux sont signes de richesse et une excellente source de main d’œuvre dans la riziculture. Et mort, ce sont des mets délicieux que les chefs sur place savent parfaitement mettre en valeur dans leur menu.
Une des spécialités typiques de l’île est par exemple le « hen’omby ritra ». Il s’agit d’un plat fait à base de viande de zébu en sauce. C’est loin d’être diététique et très équilibré, mais il faut dure que le gout est bel et bien là. En accompagnement, vous aurez du riz. De quoi vous rassasier jusqu’à l’arrivée du diner.
Mais la viande de zébu peut aussi être préparée autrement. Notamment, les locaux peuvent la cuire avec des légumes de toute sorte, avec de la sauce ou en ragout. Tout dépend des évènements et des envies de chacun.

Le koba

Chaque pays du monde possède leur propre pâtisserie. À Madagascar, c’est le koba. En guise de 4 heures ou en petit déjeuner : ce délice sucré se consomme sans modération. Il est fait notamment à base de cacahuète et de farine de riz composé avec du sucre. Pour que la cuisson soit parfaite, on couvre la pâte de feuille de bananier et on le cuit au feu de bois.
Il n’y a pas véritablement d’endroit spécifique où vous pouvez déguster le Koba. Dans les rues de la capitale, des vendeurs ambulants vous en proposent. Vous pouvez ensuite le déguster où bon vous semble.

Les Sashimis

Les Japonais sont connus dans le monde entier pour leur savoir-faire dans la dégustation et la préparation de poissons crus. Parmi les plats typiques de ce pays, on compte par exemple le Sashimi. C’est du poisson cru avec en accompagnement du riz.
Attention, les sashimis sont différents des Sushis que l’on connait en France. Ici, c’est un plat complet et plus non seulement un filet de poisson crus que l’on enroule dans du riz et avec des algues. Pour information, les sushis sont également des spécialités locales du Japon. Néanmoins, ces derniers n’ont plus aucun secret pour les Français.

Les californias

Pour un peu plus d’originalité dans vos repas, pourquoi pas les Californias. La présentation ressemble à peu près aux sushis. Et d’ailleurs, les Californias Rolls sont aussi faits à base de riz. Mais ici, on ajoute de l’algue à la recette, ce qui rend un peu plus difficile la dégustation pour certains.
Néanmoins, il importe de souligner que les californias se déclinent en plusieurs sortes. Les versions n’ont de limite que l’imagination des chefs. Aux avocats, aux thons ou aux saumons : vous n’avez que l’embarras du choix.

Un peu de viande

Contrairement aux idées reçues, les Japonais consomment également de la viande. Un des plats incontournables dans ce pays est également le Yakitoris. Il s’agit d’une sorte de brochette faite généralement à base de bœuf. Bien évidemment, il existe d’autres versions, élaborées avec du poulpe ou du poisson encore une fois. Tout le monde peut ainsi trouver facilement son bonheur dans les grands restaurants du Japon.
Les Yakitoris se dégustent avec de la sauce et un peu de jus. De quoi vous ravir et faire voyager vos papilles.

Ainsi des chercheurs de l’Université de psychologie de Londres se sont penchés sur les erreurs les plus fréquentes lors de l’achat du cadeau de Noël et les déceptions qu’elles engendrent.

1. Ne devinez pas le cadeau de Noël qui fera plaisir

Car vous avez de grande chance de tomber à côté de la plaque et d’offrir plutôt le cadeau de Noël qui vous ferait plaisir de recevoir. Ainsi, si vous cherchez le cadeau de Noël parfait, demandez aux proches de la personne intéressée ou demandez-lui directement.

2. N’offrez pas de parfum

Les produits cosmétiques sont par essence très personnels. Il est très risqué d’offrir un parfum qui n’a pas encore été approuvé. À moins de n’avoir été formulé comme une demande explicite de la part de la personne concernée, celle-ci pourrait en outre l’interpréter comme un message sur ses odeurs corporelles.

3. Évitez le cadeau de Noël trop cher

Si vous passez les fêtes de fin d’année pour la première fois avec votre chéri(e), il ne sert à rien de surenchérir. Ce n’est pas l’extravagance du cadeau de Noël qui montre à quel point vous êtes amoureux. Pensez plutôt à un cadeau original et personnalisé qui garantit des souvenirs à deux, comme un petit week-end ou un repas au restaurant. Et surtout, rappelez-vous que si un jour vous offrez de moins belles choses, l’être aimé risque de croire que vous dévalorisez votre relation.

4. Ne misez pas tout sur l’emballage

Vous avez prévu un petit cadeau de Noël mais vous avez peur de décevoir rien qu’avec l’apparence du paquet ? Évitez pour autant de l’emballer dans un contenant trop grand. Car plus la différence entre cadeau et emballage est importante, plus la personne qui le reçoit à tendance à en dévaloriser le contenu.

5. Pensez aussi aux parents

Si vous offrez un cadeau de Noël à un enfant, posez-vous la question de ce que ses parents en penseraient. Vous éviterez de la sorte les jouets trop bruyants, encombrants ou franchement moches qui reprennent la direction du magasin pour être échangés juste après avoir été reçus.

Route 66 : toute une histoire

Pourquoi porte-t-elle le nom de « 66 » ? Un décret est sorti en 1925 décidant que toutes les routes doivent porter un nombre inférieur à 100. Au départ, elle aurait été baptisée « 60 », mais ce chiffre a déjà était pris par les autorités de la Virginie et Kentucky. Elle a donc pris le numéro « 66 » qui sonne d’ailleurs beaucoup mieux. Elle a été construite petit à petit jusqu’à ce que ses 3 940 km soient tous goudronnés en 1937. L’American Association of State Highway and Transportation Officals voulait retirer cette route des réseaux fédéraux en 1985. De nombreuses associations se battaient par contre pour préserver ce trésor national. Il est devenu la piste de prédilections pour les coureurs, motards comme automobilistes. Les courses dans le film d’animation « Cars » ont lieu sur cette fameuse route. De nombreuses personnes voyagent aux États-Unis rien que pour parcourir cette route.

Que peut-on voir sur cette route ?

Les paysages sont à couper le souffle si vous voulez traverser cette route en moto. Les décors changent d’État en État. Vous traversez sur quelques milliers de kilomètres la Californie, l’Arizona, le Nouveau Mexique, le Texas, l’Oklahoma, le Kansas, le Missouri et l’Illinois. Mais, 3 940 km c’est long et il faut trois semaines pour les traverser en moto. Vous vivrez comme de vrais motards et prendrez votre café ou repas dans un bar ou un restaurant au fond d’un désert. Vous rencontrerez sûrement d’autres motards sur le chemin. Le long de votre parcours, vous pouvez faire un petit détour pour visiter quelques grands parcs comme Death Valley et Yosemite Park. Et pourquoi ne pas faire un petit saut au Grand Canyon ?